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08.01.2013

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GeekVeterano Nivel 3

puntos 3 | votos: 3
La ley del dolor siempre vuelve. - Cansancio necrófilo, que perturba mi otorgada estancia, decae todo lo
que con ardua labor me enseño mi pequeña corona.
Lugar donde ella otorgó y liberó, ahora se atestigua mi lactancia
final.
Corona falta de brillo y sin joyas, en mí, en lo más profundo de mis
vivencias, cada enseñanza te representa, tanta belleza que no consigo
satisfacer.
puntos 11 | votos: 11
Hay gente que ha esperado tanto - que se ha olvidado de caminar.
puntos 8 | votos: 8
La impotencia encarnada - y mi ser desmantelado.
puntos 14 | votos: 14
Descubrir un corazón muerto - desenterrando cada uno de sus tesoros escondidos.
Cargarte de deseos olvidados,
sentir renacer un mundo..
mundo para el resto del mundo.. extinguido.
Besar un alma muerta. 
Muerta para su propia vida. 
Abriéndose ante ti, invitándote a desaparecer,
a desear por ella.. vivir.
Sentir una oleada de escalofríos
a tu alrededor dando vueltas.
Ver cómo renace ante tí 
un ser asesinado por su propia inocencia.
Llorar de rabia observando, sintiendo, 
luchando cada día por evitar que tu propia especie te de muerte.
Y te aferras a tu propio aliento,
al único oxígeno que es capaz..
de mantenerte con vida, 
de sentirte renacer por dentro.
Desayunando cada día 
esos pequeños pedacitos de cielo 
que llegan y te hacen.. 
temblar por dentro.
Comiendo deseos imposibles para aquellos, 
devorando el ansia de morir por, para y junto a ellos.
Cenando cada gota esencial, 
llena de vida. 
Capaz de hacerte ver la vida que la propia muerte, 
puede llegar a brindarte.
Sentir dentro de tu estómago
cómo poco a poco lo más sucio se va eliminando. 
Cómo poco a poco cada una de esas esencias 
mortalmente cargadas de vida.. te va limpiando.
Ajustas tu vida a la nueva bienvenida, 
a un nuevo mundo cargado de olvido, 
exento de sufrimientos y donde sabes que siempre
 serás bienvenido.
Sin golpes, sin dolor, 
sin cicatrices que te recuerden lo que la propia vida.. 
te regaló.
Un mundo donde un te quiero
carece de sentido.
Donde promesas o juramentos quedan extinguidos.
Donde la prohibición se transforma en devoción.
Donde el amor es una batalla sin víctimas que anotarse..
 en una patética y vomitiva libreta de victorias.
Donde el odio cobra sentido, 
pasando a ser el mayor placer para tí y el mismo infierno
 para el resto de todo ser vivo.
Donde tu dolor será un placer incomprendido.
Donde una sola lágrima se transformará
 en un elixir para todos ellos.. prohibido.
Donde los peores tormentos se volcarán en suspiros.
Donde tus alas no se desplegarán 
para transportarte a cada rincón inaccesible y ahora.. 
tan cerca de tu mano, tan apetecibles.
Donde besar el cielo será por fin
el acto más sencillo a realizar 
sin necesidad de unas alas que nunca existieron 
y con las cuales te das cuenta..
 que jamás habrías podido volar.
Arrancándote por fin
 la piel sucia y herida de tu cuerpo y dar paso..
a la metamorfosis más pura, limpia y deliciosa
que sólo tu propia muerte te habrá brindado y de la cual.. 
no querrás deshacerte jamás.
...
puntos 3 | votos: 3
En el lecho que esperaba - Quedan gritos en sus lechos esperando ser arropados
por mi amargura, suspiros que alimentan la fuente de dolor.
Ahogado e inerte en el suelo sin respuesta, respiro contra el tiempo
buscando vida mas alla de esto.
Quedan nombres exparcidos en mi piel desecha, el recuerdo
de mis deseos, queda la insistencia que nunca tuve..quedan mis trazos
desechos en la tinta que nunca exparci.
Se siente frio desde aqui abajo, la supremacia de mi soledad ciega 
la vida...se siente el morbido frio que sin piedad me congela en la
agonia, se siente este olor sin perfume que me consume y no tiene
nombre, siento el preludio de mi fin y quedo inerte en el despiadado
frio.

puntos 15 | votos: 15
¿Por qué sufrimos - si no es por la agonía de carecer de lo anhelado?
puntos 3 | votos: 3
No soy nada - Bebe de un disecado amor, la mayor flor marchita que florece
en la penumbra.
Que gota tras gota el necio llena un vacio imaginario...
casi pude tocar la verdad, pero nunca pude superarla.
puntos 6 | votos: 6
Me consume la influencia - que rechazo, me destruye la necesidad que niego, me abruma la verdad
que no admito....estoy a tres pasos de ser lo que necesito.
puntos -3 | votos: 7
ke onda tranza - poz aki kn loz konpaz
puntos 1 | votos: 1
Carriers of dust - Me battant à mains nues contre la nature même du temps en remontant
tant bien que mal son héraclitéen courant, Il marrive parfois de
voir ressurgir ou renaître du néant de vieux souvenirs de ce que je
pus observer du projet dantan. Ma mémoire dhabitude traîtresse et
oublieuse na pourtant rien perdu de cette cérémonie fabuleuse
destinée à tracer une voie dor un nouveau destin ou  toute une
nouvelle dynastie et ses phantasmes sibyllins.
Point encore sous la forme dune horde mais sous celle dune vulgaire
masse, fuyant la discorde qui faisait alors rage, et qui encore et
toujours aetentit inlassablement en ce monde et en ses alentours. Le
regard vague, pendant, perdu dans le vide, ces êtres, réunis par le
hasard de leur errance, jurèrent dune voix unique portée par leur
transe dexister ensemble, enfin sereins et impavides.
Cétait là le cri dune excroissance tyrannisée, bien décidée à
en finir avec toute forme dimpureté. Dès lors, celle-ci se
revendiqua de la descendance directe de la divinité dans sa
déclinaison la plus infecte.
Ainsi était né le microcosme du mal et de la vanité ; désemparé
par la présence du vide, il avait juré allégeance au mystique afin
de se redonner artificiellement la contenance que son précédent
écroulement lui avait ôté.
Mais comment peut-on prétendre à la toujours étantité Lorsque lon
répète aveuglément les erreurs du passé, qui précisément
sétaient avérées être les zones dombres ayant projeté le
précédent édifice dans le destin le plus sombre ?
Pauvres vermisseaux incapables de déjouer le nihilisme lattant
sinjectant sous le poids du passé ! Les écorces de promesses vides
seront bientôt balayées par le vent naissant annonçant laube
démystifiée !
Léchant frénétiquement le sable du désert pour tenterde
sabreuver, le lion blatérant cherche à déjouer les secrets du sol
par sa stupidité.
Et voilà cette masse traversée par les mêmes tensions Qui de
lancien système avaient déjà eu raison. Gonflés par le désespoir
et une prétention nombriliste, Les pseudo guerriers avaient répété
les erreurs nihilistes.
Qui na pas dailes ne peut pas prendre son envol et contempler les
routes tracées au sol, Sémanciper et porter sur son corps
ensanglanté les traces de la révolte athée.
Ainsi la pseudo élite sembourba dans sa mystique dénuée daura,
nayant plus rien dautre à contempler que la répétition de
lerreur passivement ingérée. Dès lors étouffée par sa
prétention, elle nia léchec et la déréliction pour mieux se
flatter dans le flétrissement Et lignorance quelle fustigeait jadis
si résolument.
Plus que lattitude dune tribu : celle dun monde, dune espèce…
réordonnant le monde à lenvers, si absurde, si lointain... si
malsain…
Je me coucherai malheureux de soir et me réveillerai demain, aussi
affaibli quun vieillard, alors hanté par une intuition soudainement
intrinsèque : Celle de luniversalité et de la nécessité de
léchec.

puntos -1 | votos: 3
Ils brandiron leurs idoles. - Le lourd fracas du rien contre le rien ne provoque aucun son, aucune
vibration, pas le moindre écho qui résonnerait au loin, mais quune
pure indétermination. Ce rien nengendrerait ni mal, ni bien, ne
posséderait aucune volonté dorienter le destin. Comment expliquer
dès lors cette lassitude humaine extrême, Cette capitulation devant
quelque chose qui ne saurait être delle-même ?
Le silence des hommes peut en masquer un autre, plus terrible encore :
celui des apôtres constatant impuissamment malgré leur transe Que
leur source unique sest tarie, mais pas leur démence. Quà cela ne
tienne, ils brandiront leurs idoles par-dessus le néant que nul
naffectionne. Ils prétendront alors que le vide est la vie et
quelle rayonne jusquici...
... Quelle sème partout sens et présence de même que préceptes,
lois et obligations de repentance. Il simposera alors dans notre
temps, a travers mille prétextes lancinants.
Ainsi retentira à nouveau Le même et sinistre écho ; Le glas dune
génération enlisée dans sa traître satisfaction, Préférant à la
vie, la mort et y précipitant tout son sort, Rejetant au loin tout ce
qui pourrait être impulsion de raison, de révolte contre ces
prêtres.
Mais non, car aussi vrai que le temps sécoule Le vide avale tout ce
que vers lui on refoule, lerreur se substitue à la vérité et à la
peur, la piété. La satisfaction naît du mensonge, rejetant le
vivant dans un songe, Le rien dans le vivant Et la vie dans le néant.
Gare à celui qui sinsurgera contre la tautologie. Il devra alors
affronter la presque toute-puissante folie qui, substituée à chaque
être, agit a travers une unique sentence que chaque bouche rugit : 
Monstre, tu nes pas de ce monde ! Fuis loin de nous, toi et ton aura
nauséabonde Ou nous mettrons en acte notre héritage légal Emet
crèverons ta putride peau de chacal. 
 Toi qui a osé défier notre normalité : Nos sens, notre esprit, et
notre divinité ; Notre arrière-monde et notre infinité ; Nos dogmes
nous ordonnent de texécuter. Nos oreilles ne sont destinées quà
entendre les murmures que nous fantasmons dans le silence et ses
méandres Mais en tout cas pas ta trop concrète voix et les frissons
quelle engendre, ce terrible effroi. 
Voilà ainsi celui qui se rebelle contre léternel retour du vide, Ce
gouffre abyssal qui rend lidée même de vie insipide, calomnié,
diffamé, puis finalement condamné Au sinistre et illégitime exil
des damnés. Contre ledit impie, à leur tour, ils brandiront leurs
idoles, Pâles reflets dun au-delà frivole, le condamnant à
lerrance dans leur froide nécropole, Et enchaînant lexclu sous sa
noire coupole. Inhumain, immonde, amoral, anormal, Tmtatoué sur sa
chair par une encre de matière fécale, Réduit par essence au
silence Et par folie à la violence.
puntos 1 | votos: 1
La lente mort snas panache. - Au loin, des cris résonnent un sinistre râle que mille voix
entonnent mais que pourtant nul nentend.
En tendant loreille on ne découvre aucune merveille Alors ne
savance quun spectacle de déchéance Des hommes, des femmes bouches
béantes, vides dâmes, le regard de boue et  glaise sévanouissant
dans leur malaise. Au sein de cette triste ronde et de leurs voix qui
se morfondent, ta frêle silhouette se fond. A vos murmures moribonds
qui lourdement senlisent dans une étroite prison grise sajoutent
les claquements secs de vos dents sentrechoquant contre les barreaux
du temps.
La sinistre complainte des lâches, ou la lente mort sans panache.
Lhomme a pour seule vertu de choisir le comment de ses derniers
soupirs. Fuis là doù tu viens, et péris-y toi et les tiens.
Chacun porte en lui une flamme qui vit. Libre à lui alors de
létouffer ou de lalimenter et la propager.
puntos 7 | votos: 7
Podría quererte - y estar lejos otras veces, 
los temas que domino no creo que te interesen
puntos 3 | votos: 3
Canto de agonía, lleno de pureza - Razonando la verdad entre susurros.
Mi dulce utopía, mi soluble realidad difusa, caída a mis pies.
Mi canto inaudible que llama lo que no olle...la pureza se convierte
en sangre.
puntos 4 | votos: 4
Canto nanas a los cádaveres, - pierdo la voz en los desperdicios de vida.
Grito una y otra vez..rodeado del hedor, de la repugnancia propia.

puntos 31 | votos: 31
Soy de esas personas - que temen el día en el que se les agote la paciencia 
por lo que pueden llegar a liar.
puntos 20 | votos: 20
Observo el techo de mi habitación - Mientras siento mi corazón latente
No late como debería, late con odio y miedo
Una sensación pesada e irritante
Mi corazón está muriendo una vez más
Después de intentar evitar esto, ahora solo lo dejo perecer
puntos 6 | votos: 6
Ya mis pensamientos no cuentan, - son sólo voces que no merecen ser escuchadas; tuvieron su tiempo, 
su espacio, su vida.
puntos 9 | votos: 9
Y si te has quedado despierto - hasta las 4:00 a.m, estás enamorado, o estás solo.
Y ya ni sé cuál es peor.
puntos 10 | votos: 10
Un final predecible - Terror inerte en los labios desangrados.
Dolor impregnado en mis retinas.
Fin y comienzo de mi putrecfacta vida.

puntos 3 | votos: 3
Tras su velo de transparencia, - el soberano concede, decapitado de la vida ,
entre el polvo de su vejez.
Hombre inerte, su aliento sopla el velo y sus palabras llevan
el hielo: Con desprecio llevo mi carga, tomo sus vidas para un fin
cercano
puntos 8 | votos: 8
Reino de delirio que cubre - mi mente, doblegando mi inerte cuerpo a la locura.
Reino imaginario que cubre la realidad y consume mi lucidez.
Te extiendes sin fin en los ejes de existencia.
puntos 8 | votos: 8
Un deseo ilusorio que se pierde - en la infinidad de mi desgracia.
puntos 11 | votos: 11
Donde entra el amor - muere el deber.
puntos 1 | votos: 3
╬ ♥ Black metal Love ♥ ╬ - Para quienes no ansían sino ver, hay luz bastante; más para quienes
tienen opuesta disposición, siempre hay bastante oscuridad.

puntos 5 | votos: 5
Somos lugares - que necesitan ser habitados.
puntos 17 | votos: 17
Se te oxidó - el corazón por hacerlo de hierro
puntos 3 | votos: 3
Хуитень -
puntos 9 | votos: 9
... - me matan los celos al verte con ella.
puntos 1 | votos: 1
Los horizontes musicales - no tienen lımites, Augury es el ejemplo.

puntos 2 | votos: 2
Beatus - Magister, magister, dolorae inferis Magister, Magister, in caudae
venenum est Magister, Magister ,caro mea vere est cibus. Torrente
voluptatis Tuae potabis eos

(He stalks the corridors, question which room hell sneak in Shivering
puppies cringe, praying their turn has not come)

Et clamor meus ad Te veniat (Hello, up there, Im praying you!!! Have
mercy upon us!) Pulling sheets overhead in hopes to be spared Exaudi
meam, miserere nobis (Get me the fuck out of here!) Whence the evening
came he brands his cattle for life.
puntos 2 | votos: 2
Zagharos black metal desde Holanda - Guerra, Misantropía, Odio, Nacionalismo.
puntos 0 | votos: 10
El racismo no es miedo... - al extranjero, no es odio, o un complejo de inferioridad. Es una
señal de salud espiritual y amor hacia sí mismo y su propia raza! 
Varg Vikernes
puntos 12 | votos: 14
Incluso tú - Desearías tener estos ojos ...
puntos 23 | votos: 23
La diferencia - entre cualquier juego y la vida, es que en esta ultima no puedes
decidir quien eres  y de donde vienes.

puntos 0 | votos: 2
Augury - Género:

Death Metal Progresivo


País de origen: Canadá


Año de formación: 2002


Periodo de actividad: 2002 - presente


Temas líricos:

Cuerpos celestes, Muerte, Tristeza, Corrupción


Bandas parecidas:

Obscura (Death Metal Técnico Progresivo)

Beyond Creation (Death Metal Técnico Progresivo)

Anata (Death Metal Técnico)

Neuraxis (Death Metal Técnico)

Decrepit Birth (Death Metal Técnico)


Formación actual:

Patrick Loisel - Voz, Guitarra (del 2002 hasta hoy)

Mathieu Marcotte - Guitarra (del 2002 hasta hoy)

Dominic Forest Lapointe - Bajo (del 2002 hasta hoy)

Étienne Gallo - Batería (del 2002 hasta hoy)


Trabajos de estudio:

Concealed (Álbum, 2004, calificación personal: 9/10)

Promo 2006 (Demo, 2006, calificación personal: 9/10)

Fragmentary Evidence (Álbum, 2009, calificación personal: 8.5/10)


Mejor disco (opinión personal): Concealed (2004)


Notas adicionales:

El bajista de la banda usa un bajo de 6 cuerdas sin trastes.
puntos 6 | votos: 6
Morada de un desconocido - Libre de estas garras hallo el velo de mi libertad,
detrás de esta tela, hallo el nombre de mi carne.
puntos 4 | votos: 6
Levanta al mundo del sueño - Tiemblan los desposesos que no hayan su camino astral,
su alma nublada no concibe percepción y perduran como la piedra de la
que nacieron, sin vida ni existencia, llenos de despropósito.
puntos 8 | votos: 8
Purga de tu mente de la realidad - eres el anfitrión de una ficción indescriptible.
puntos 12 | votos: 12
Vicios para más vicios - que me llevan a otros vicios.

puntos 1 | votos: 3
Pédida del amor - Lánguido y cálido, caía el alfiler de mi títere desmantelado, el
triste obsequio del destino cae ante mis ojos de impotencia, el
control del amor se proclama inconquistable pues ante mi cae el afiler
de mi amor. Su lenta caída es símbolo de la mía, cae desmantelando
los actos de mi amor, cae de mi verguenza, cae como la figura de un
ser sin existencia.
puntos 5 | votos: 5
Escondido en sueños - Muda es la tentación de los sueños, su lenguaje de imágenes
ilumina el pavor de la coherencia...llevando el temor a la lógica.
El lenguaje del alma de los sueños desentendidos, susurantes en 
la mente de su posesor, que no los comprende, que alimentan la
imaginación
Los sueños tentados a manifestarse mediante el efímero éxtasis
de su existencia llenan la mente con su lenguaje, motivados por la
tentación de la realidad...los sueños mudos que tu liberas, que hace
realidad sus deseos y los tuyos.
puntos 12 | votos: 12
Llévame a un lugar - cercano al olvido donde ni yo misma logre recordarme,
donde la soledad no me abandone y el silencio me hable.
puntos 8 | votos: 8
Me gusta tu manera - de ignorarme.
puntos 9 | votos: 9
Quiero ser recuerdo - para enterrarme en tu memoria y resucitar cada día en tus
comportamientos involuntarios como si fuera un secreto manifestado en
cada actuación.

puntos 5 | votos: 5
Los años de devanecimiento - caen devorando los cuerpos etéreos de las almas celestiales,
arrebatan los bienes abstractos, graban el letargo en la vida.
Somnolientas almas desperdigadas por el tiempo desgastado,
vagan insensatas en sus cuerpos celestiales....y son víctimas del tiempo.
puntos 5 | votos: 5
Un alma más allá - Dulce esencia eterea que colma mis labios con el augurio de un
éxtasis indescriptible, dulce ensencia que me abre las puertas de
otra alma, siento la masa de un alma vagante por los lares de esta
pura llanura.
Caminante el augurio que vaga divulgando la presencia del alma...
siento su brillo entre su llama, se levanta la esencia de su amacer y
ciega a los osados y a los malditos para que huya de su pura
existencia.
Llevado a este más allá, paso a paso, paso tras pasa, tras el alma
susurrante que lleva mi curiosidad.
puntos 5 | votos: 5
Aterrados los seres conmovidos - por sus sangrantes ojos...que no visionan ninguna satisfación.
Empapadas las pupilas con el rojizo nectar de vida,
ciega con su abrumador color la visión del desorientado ser.
Fluye por mi cara, sale de mi interior provocando el más amargo
terror...esta sangre es producto de la ironía pues me da la vida
y a la vez me la arrebata sin piedad alguna.
puntos -6 | votos: 12
THIS IS PAIN - - You know what hurts? 
- What? 
-You have to pay for you to meet idol. 
- But you know what hurts most? 
- What? 
-What for is a single day, for you the best of your life
puntos 8 | votos: 8
Se movían - con gestos autoritarios porque sus palabras no alcanzaban.





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